top of page
Man o'War

 

Vainqueur de 20 de ses 21 sorties, Man o'War a établi trois records du monde, deux records américains, et trois records d’hippodrome. Admis en 1957 au Hall of Fame, il occupe le premier rang du classement des 100 meilleurs chevaux de l'histoire des courses américaines au xxe siècle établi par le magazine Blood-Horse. Une grande course qui se déroule à New York, les Man o'War Stakes, le célèbre chaque année, et plusieurs rues portent son nom. 

Secretariat

Le destin de Secretariat est en partie lié à une histoire de pile ou face. Ogden Phipps et Penny Chenery, éleveurs, concluent un arrangement pour se partager les poulains issus de leurs poulinières et de l'étalon Bold Ruler : le vainqueur du toss pourra choisir le poulain qu'il veut, tandis que le perdant gardera les deux autres. C'est ainsi que les Chenery, malheureux à pile ou face, deviendront des propriétaire comblés, puisqu'ils récupèrent un foal et un poulain à naître au printemps suivant : celui-ci se nommera Secretariat.

Cheval de l’année en 1972 et 1973, meilleur 2 ans en 1972, meilleur 3 ans en 1973, meilleur cheval sur le gazon en 1973, triple couronne(Kentucky Derby, Preakness Stakes: Baltimore, Belmont Stakes: banlieue de New York), membre du Hall of Fame des courses américaines depuis 1974, 144 au classement Timeform (140 et plus – Cheval exceptionnel) 2e rang derrière le mythique Man O’War dans le classement des 100 meilleurs chevaux de l’histoire des courses américaines au 20ème siècle, 35e rang des 100 plus grands athlètes du siècle (seuls deux autres "non-humains" l’accompagnent dans ce classement, Man O’War et Citation, respectivement 84e et 97e), deuxième place du classement des 100 plus grands exploits individuels du sport pour sa performance dans les Belmont Stakes, statue à son effigie trône dans l’hippodrome de Belmont Park, couvertures de Time, Newsweek and Sports Illustrated, timbre émis en son honneur, rue à son nom en Californie, 21 courses, 18 victoires, plus d’un million trois cent mille dollars de gains.

OURASI « Le roi fainéant »

 

Le cheval le plus connu de France, le plus aimé, le plus admiré. Le « roi fainéant » a son style à lui, sa démarche, son caractère. Arrivé sur le devant de la scène alors que le champion du monde Lutin d’Isigny occupe encore la place de numéro 1, Ourasi remporte son premier Prix d’Amérique en 1986. Comme une évidence. Il enchaîne en 1987 puis en 1988 toujours associé à Jean René Gougeon, son entraineur-driver. En 1989 c’est le coup de tonnerre ! Alors qu’un quatrième sacre consécutif est attendu de tous, Ourasi flanche. Il ne finit que troisième. En guerrier, il revient l’année suivante, à l’âge de 10 ans et s’impose en devenant le premier et unique quadruple vainqueur du Prix d’Amérique.

Les chevaux de légendes

Varenne « il capitano »

 

Défait en 2000 pour sa première tentative, Il Capitano conquiert son premier titre mondial en 2001. Fort de ce sacre, il enchaîne par des succès ininterrompus à travers toute l’Europe. Pour son retour en 2002, en digne empereur du trot mondial, Varenne remporte son second Prix d’Amérique. Entouré d’une équipe internationale, avec un entraîneur finlandais, une lad suédoise, un naisseur français, un driver et des propriétaires italiens, Varenne est le cheval du XXe siècle. Détenteur du record des gains en course (plus de 6 millions d’euros), il est devenu un étalon de tout premier plan et a déjà présenté une de ses filles, Lana Del Rio, au départ de l’édition 2011.

                     Vidéo de la course d'époque                                          Reconstitution de la course dans le film Secretariat

 

Secretariat détient toujours le record du prix sur la distance de 2400m en 2'24''00

Eléazar l'attentiste à la piscine privée

Eléazar était un magnifique trotteur bai, grand et majestueux, né en 1970 de l’union de Kerjacques et de Quérida chez Monsieur Alec Weisweiller.

Son palmarès à lui seul parle pour lui, il est vraiment exceptionnel.

Et pourtant Eléazar connut de nombreux ennuis dans sa carrière à cause de ses jambes fragiles, qui lui valurent de longues périodes de convalescence. Mais alors qu’un vétérinaire recommande de l’opérer pour de petites fêlures, Léopold Verroken entreprend de l’immobiliser pendant un mois avec des ballots de paille, pour lui permettre de re-trottiner doucement ensuite. Une piscine est même créée exprès pour lui. Une patience de son entourage qui va payer

Heureusement, Léopold Verroken, sans doute alors le meilleur entraîneur de trotteurs en France, avait des remèdes secrets pour soigner et consolider son « champion aux pieds d’argile ». Leur mérite à tous deux n’en fut que plus grand encore. Ils brillèrent sur toutes les pistes d’Europe.

Ainsi Eléazar remporta deux fois le Grand Circuit International Européen (1977 et 1978).

A son palmarès figurent un Prix d’Amérique, trois Prix de France, deux Prix de Paris, deuxGrands Critériums de Vitesse de la Côte d’Azur, deux Grands Prix du Sud-Ouest, un Prix de l’Atlantique, un Prix de Sélection ; également le Prix de l’Elite Internationale(Elitloppet, éliminatoire et finale) à Stockholm, la Course des Elites (Elite Rennen) à Gelsenkirchen, le Grand Prix de Bavière et le Prix des Meilleurs à Munich, le Grand Prix d’Eté à Sterrebeek (hippodrome de Bruxelles), soient au total 36 victoires pour 6 731 685 F de gains, ce qui fit de lui le troisième trotteur le plus riche de tous les temps après Bellino II et Une de Mai.

Ténor de Baune

Ténor de Baune gagne sa première course à Argentan mai 1988 à 3 ans.

Ce trotteur a remporté le Prix d'Amerique en étant invaincu : trente victoires consécutives, toutes gagnées avec son propriétaire entraineur Jean-Baptiste Bossuet à son sulky. Remporter le Prix d'Amérique avec un palmarès vierge de toute défaite n'avait jamais été réalisé auparavant, et, en 2013, n'a pas été réédité.

Lors de sa sortie suivante dans le Prix de france il s'avoua vaincu pour la première fois par Ultra Ducal et ne retrouva jamais son meilleur niveau.

Frankel

Invaincu tout au long de sa carrière, il est considéré comme l'un des tous meilleurs, même s'il s'est principalement cantonné au mile qui n'est pas la distance reine du turf européen.

 Invaincu, invincible, le désormais légendaire Frankel (dont la presse britannique estimait la veille de sa dernière course, la valeur théorique à 125 000 000 d'euros, au bas mot) quitte la scène sur un triomphe et sur un nouveau titre de Cheval de l'année en Europe (auquel il faut ajouter un titre de meilleur cheval d'âge, soit le total record de cinq Cartier Awards) pour rejoindre le haras en vue d'une carrière d'étalon que tout le monde espère aussi prodigieuse que le fut sa carrière de compétiteur. Son prix de saillie est fixé à £ 125 000 pour la saison 2013 et ses prétendantes, au nombre de 133 pour la première année, figurent parmi les poulinières les plus prestigieuses, à l'image de Danedream, qui lui est promise dès la fin de sa carrière. ( Frankel est pour la première fois papa dans la nuit du 11 janvier 2014)

Ready Cash

Ready Cash est considéré depuis longtemps comme un crack. Si les champions se succèdent chaque année au palmarès des plus grandes épreuves de sélection, les cracks ne viennent au monde que tous les dix ou vingt ans. Ready Cash est de ce bois. A l’âge de 3 ans, il releva le défi de gagner trois courses du Groupe 1, s’installant dans le fauteuil de leader incontestable de sa génération. En 2011, alors âgé de 6 ans, Ready Cash enregistre le deuxième meilleur temps historique du Prix d’Amérique face au talentueux Suédois Maharadjah. En pleine force de l’âge, il confirme les espoirs placés en lui et entre définitivement dans la légende des plus grands trotteurs Français, en remportant un deuxième Prix d'Amerique en 2012. Pour l'instant Ready Cash totalise 40 victoires, 11 places pour 66 courses. (en date du 15/01/14)

Trêve

En 2013, cette championne a notamment signé un magnifique triplé dans les courses du Groupe 1, le niveau d'excellence dans les courses hippiques: le Prix de Diane, le Prix Vermeille et le Prix de l'Arc de Triomphe. Toujours à l'entraînement, la championne, est la propriété du cheik qatari Joaan bin Hamad Al Thani.

bottom of page